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Après son départ controversé pour la Belgique en fin d'année dernière, et sa demande de citoyenneté russe en janvier, est de retour en France. Pas pour y vivre mais pour y tourner un film. "C'est la première fois que je tourne nouveau en France. J'ai refusé tous les films français car les gens ne pouvaient pas comprendre", explique le monstre sacré du cinéma français, dans un entretien accordé l'AFP.

Une interview dans laquelle Gérard Depardieu dément de nouveau être exilé fiscal. S'il a quitté la France, c'est avant tout pour fuir "l'utilisation que font les gouvernements de l'argent qu'ils prennent", affirme le comédien de 64 ans, qui dit être la fois "Russe et résident belge". "J'ai des sociétés dans les pays où je vis car c'est plus avantageux", déclare-t-il. Preuve qu'il n'a pas cherché échapper au fisc : en 15 ans, Gérard Depardieu prétend n'avoir passé "que cinq mois en France".

Et visiblement, Gérard Depardieu ne regrette pas son départ. Après s'être écharpé avec le premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui avait qualifié de "minable" l'exil fiscal du comédien, et avoir critiqué la politique menée par François Hollande, l'interprète d'Obelix prédit de sombres mois venir pour la France. "Je pense que la rentrée va être chaude et je pense qu'en 2014, ça va être bien pire en France, contrairement ce qui a été annoncé", indique-t-il.

Après une bande-annonce en juin dernier et un court teaser révélé sur Instagram il y a quelques semaines, les aperçus du film Jobs continuent de filtrer, avec cette fois-ci un extrait en version française, pour le plus grand bonheur de ceux qui ne parlent pas la langue de Shakespeare.

On ne l'avait plus vu depuis le 24 juillet dernier, date laquelle lui, son épouse et leur bébé George, Alexander, Louis ont quitté Kensington Palace pour rejoindre Bucklebury où résident les parents de Kate. Très discret ces deux dernières semaines, le Prince William a refait surface surface Windsor ce week-end pour participer un match de polo organisé en présence de son petit frère le Prince Harry.

Arrivé avant-hier (samedi 3 août) en mode décontracté dans un pantalon blanc, une chemise foncée et chaussé d'une paire de baskets rouge, le Prince William a enfilé ses habits de cavalier pour disputer la partie. Une fois le match terminé, il a été l'auteur du but décisif qui a fait gagner son équipe, le mari de Kate Middleton s'est laissé aller quelques confidences sur sa nouvelle vie de papa.

"J'étais en mode bébé", a confié le Prince William l'issue du match, avouant qu'il n'était pas tout fait dans le jeu. "Je pensais que je devais acheter des couches avant de rentrer la maison", a-t-il plaisanté en affirmant qu'il devait désormais veiller ne pas rentrer trop tard. Alors que tout le monde attendait qu'il parle de son fils, le prince William n'a donné aucun détail, hormis que "George s'applique garder ses parents très occupés".

O.M.

Après avoir fait régulièrement la Une de l'actualité depuis l'annonce de son exil fiscal en décembre, est de retour Paris ces jours-ci pour le tournage d'une co-production internationale sur l'histoire du football. A cette occasion, l'acteur de "Cyrano de Bergerac" s'est confié l'AFP.

Il a ainsi expliqué que c'était "la première fois" qu'il tournait en France depuis le début de la polémique et son départ pour la Russie. Celui qui a récemment participé l'adaptation sur grand écran de l'affaire DSK a également affirmé avoir "refusé tous les films français" qu'on lui a proposés auparavant "car les gens ne pouvaient pas comprendre" selon lui. Décrivant sa nouvelle vie hors de l'Hexagone, il a expliqué : "Je suis Russe et résident belge. J'habite en Russie, où j'ai passé trois mois et demi. J'ai des sociétés dans les pays où je vis car c'est plus avantageux".

"En 15 ans, je n'ai peut-être passé que cinq mois en France"

Au cours de cet entretien, l'acteur des "Valseuses" est également revenu sur son rapport au fisc. Il a d'abord tenu rappeler son statut de citoyen itinérant depuis de nombreuses années : "En 15 ans, je n'ai peut-être passé que cinq mois en France. Depuis décembre 2012, un mois et demi" a-t-il déclaré avant de poursuivre sur le même mode : "Je retourne au Kazahkstan où je tourne, puis en Belgique et en Italie". Et l'exilé fiscal de se justifier une nouvelle fois : "Je ne fuis pas le fisc mais l'utilisation que font les gouvernements de l'argent qu'ils prennent".

"La rentrée va être chaude"

Quant l'avenir de la France, Gérard Depardieu ne cache pas son pessimisme."Je pense que la rentrée va être chaude et je pense qu'en 2014, ça va être bien pire en France, contrairement ce qui a été (...)

Le site Actualitté se livre au démêlage du vrai et du faux dans les chiffres de ventes annoncés par l'éditeur du livre de la starlette adepte des citations sur les cheveux.

Mais combien d'exemplaires Non mais allô quoi, le "livre" de Nabilla sorti le 11 juillet dernier, s'est-il vendu? Le 25 juillet dernier, Toutelatélé avançait le chiffre de 1161 exemplaires écoulés, pas de quoi crier au succès pour la star des Anges de la Téléréalité. "Faux" répondait LeFigaro.fr le lendemain, Non mais allô quoi est un véritable succès puisqu'il s'est vendu 35 000 exemplaires.

Actualitté s'est repenché sur la question pour démêler le vrai du faux. D'où viennent les chiffres avancés par Toutelatélé? Des estimations d'Edistat, qui s'appuie sur un panel -d'ailleurs utilisés par les éditeurs pour vérifier leurs ventes- qui n'est pas exact 100%, mais qui a le mérite de représenter "une certaine fidélité des ventes" réelles, c'est- -dire des livres effectivement achetés par des lecteurs, explique Actualitté.

Livres placés dans les points de vente et livres réellement vendus

Si marge d'erreur il peut y avoir, peu de chance qu'elle soit aussi importante que ce qu'avance LeFigaro. Le chiffre annoncé par le quotidien -35 000 exemplaires "vendus"- représente en fait le nombre de livres placés dans les différents points de ventes: librairies, grandes surfaces alimentaires, grandes surface spécialisées. Ces exemplaires sont en rayons mais n'ont pas encore été vendus des clients... Ils peuvent donc toujours faire l'objet d'un retour vers l'éditeur -Les Editions Privé, propriété de la maison Michel Lafon-, qui devra alors rembourser les libraires et autres revendeurs.

Qu'en est-il aujourd'hui? "On ne pourra connaître la réalité" des ventes du livre de que dans un an, écrit Actualitté, quand les libraires auront -ou non- renvoyé les ouvrages l'éditeur. En comparant les ouvrages placés et les ouvrages retournés, nous aurons alors une (...)

Par la rédaction Télé de Premiere.fr

Malmenée par les critiques qui ne supportaient plus le ton parfois condescendant de l'émission, Le Grand Journal perdait peu peu son avance confortable en terme d'audiences sur les émissions concurrentes, comprenez C Vous sur France 5 et Touche pas mon poste sur D8. Après neuf ans de bons et loyaux services, l'heure est donc venue pour le talk-show phare de Canal + de se réinventer et d'injecter un peu de sang neuf dans ses veines. C'est la mission qui a ainsi été confiée Antoine de Caunes. L'animateur qui a marqué les esprits la grande époque de l'émission Nulle part ailleurs, grâce des sketchs devenus cultes avec José Garcia, revient en effet sur le petit écran dès le 26 août prochain pour succéder Michel Denisot, parti prendre les commandes de la version française du magazine Vanity Fair. Alors qu'Ali Baddou ou encore Maïtena Biraben étaient donnés favoris, la chaîne cryptée a donc décidé de miser nouveau sur l'une des figures de lance du fameux "Esprit Canal" qui a tant apporté la chaîne en termes de notoriété. Bien conscient de sa mission, le nouvel hôte du Grand Journal a confié en juin dernier Paris Match : "J'ai envie de remonter le thermostat, de pousser le curseur de l'humeur et de l'humour, tout en restant dans mon rôle d'homme-ancre. Je reviens avec l'envie de nouveauté, de ne pas dupliquer le passé. (...) Bref un mitigeur entre l'entertainment et l'information."C'est donc un Grand Journal nouvelle génération que devraient découvrir les fidèles de l'émission le 26 août prochain. Qui dit nouvel animateur, dit également nouveau générique mais également nouveau décor ! Mais la liste des nouveautés ne s'arrêtent pas l . Pour faire souffler un vent nouveau du lundi au vendredi sur Canal +, Antoine de Caunes a décidé de faire un brin de ménage parmi les chroniqueurs. Alors que Jean-Michel Apathie, Doria (...)

Taubira sous le feu des critiques. L'opposition estime lundi 5 août que la remise en liberté de trois condamnés faute de places de prison disponibles pour exécuter leurs peines est la conséquence directe de la politique pénale de la ministre de la Justice.

L'UMP multiplie ainsi depuis le week-end ses attaques contre la garde des Sceaux après cette affaire survenue en fin de semaine dernière Dreux (Eure-et-Loir), où trois petits délinquants ont été relâchés faute de places disponibles la prison de Chartres.

"Ce n'est pas une décision isolée, ce n'est pas le fait d'un procureur qui dans son coin aurait pris cette décision, c'est la conséquence directe de la politique que conduit le gouvernement et que conduit la garde des Sceaux", a notamment lancé le député UMP Eric Ciotti sur France 2. "C'est une politique irresponsable, dangereuse et, je le dis très clairement, cette politique de Mme Taubira met en péril le pacte républicain".

Le député filloniste des Alpes-Maritimes y voit la conséquence de la circulaire de politique pénale de septembre 2012 dans laquelle la ministre a, selon lui, donné des "instructions écrites aux procureurs de la République pour dire que le recours la prison ferme doit désormais être l'exception."

"C'est totalement irresponsable", a-t-il poursuivi, en demandant François Hollande de prendre des dispositions "dès aujourd'hui pour abroger cette circulaire scélérate".

Pas de laxisme selon le PS

Sur Europe 1, le président du groupe socialiste l'Assemblée nationale a lui déclaré attendre "des explications sur cette affaire qui n'est pas normale".

Bruno Le Roux a rappelé que le ministre de (...)